Appleblim : cheat (Skull Disco)
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Shackleton : naked (Skull Disco)
http://www.zshare.net/audio/2466517804dbb9/
Shackleton : blood on my hands - Ricardo Villalobos Apocalypso now mix (Skull Disco)
http://www.zshare.net/audio/24666253e8a043/
jeudi 28 juin 2007
mercredi 27 juin 2007
MOMUS/BELOVED/SHAMEN February 1988 - Rex club - The 'trois en un rock' night
Momus. Strange name hiding a british nostalgic of 'la chanson Française'. He seemed to be cult in the french parisian intellectual 'inrock' pop crowd even if he failed to be in his own country. I didn't blame him. He has some guts. I left him to his torments and went to the bar and he seemed to do well without me. Frustration ... the Beloved have splitted and I didn't knew it. There's only two of them left and it didn't seem to be a cold wave band anymore. (You understand that at this state the night was in pass tu turn to total distaster for me). The band is all synth now, New order style, but live I really doubt about their know how. Yet it wasn't so bad, even very good with little jewels like 'forever dancing' with a Madona sample or 'then 87'. Then came the Shamen. Psych revival band with all common images of the style, trying to rise from the dead what can't be. It's quite boring but they seem to be sincere and the bass player quite good, the whole sing is still listenable.
Momus. Etrange patronyme derrière lequel se cache un british nostalgique de la chanson française. Culte tout de même, à défaut de l'être chez lui en GB, dans le milieu pop intello parisien, style inrock. Je ne lui en veut pas. Il a du courage. Je le laisse à ses tourments pour aller au bar et il s'en sort très bien sans moi. Frustration. Les Beloved, splittés sans que je le sache, ne sont plus que deux et ont largué leur côté cold wave. (A ce stade la soirée tournait au désastre). Ne reste que le côté synthétique new ordisant du groupe, sur lequel j'exprimais, du moins en concert, les plus grands doutes. Dire que c'était inoubliable serait éxagéré, mais dire que c'était plutôt bien ficelé, ne serait pas faux, avec des petites perles telles "forever dancing" avec son sample de Madona ou "then 87". Suivirent les Shamen; groupe psychédélique revival avec tous les clichés du genre, s'ingéniant à rescussiter ce qui ne peut l'être. Chiant à la longue et même à la courte, mais avec un bon bassiste et une sincérité apparemment non feinte, qui rendait tout de même la chose écoutable.
Momus. Etrange patronyme derrière lequel se cache un british nostalgique de la chanson française. Culte tout de même, à défaut de l'être chez lui en GB, dans le milieu pop intello parisien, style inrock. Je ne lui en veut pas. Il a du courage. Je le laisse à ses tourments pour aller au bar et il s'en sort très bien sans moi. Frustration. Les Beloved, splittés sans que je le sache, ne sont plus que deux et ont largué leur côté cold wave. (A ce stade la soirée tournait au désastre). Ne reste que le côté synthétique new ordisant du groupe, sur lequel j'exprimais, du moins en concert, les plus grands doutes. Dire que c'était inoubliable serait éxagéré, mais dire que c'était plutôt bien ficelé, ne serait pas faux, avec des petites perles telles "forever dancing" avec son sample de Madona ou "then 87". Suivirent les Shamen; groupe psychédélique revival avec tous les clichés du genre, s'ingéniant à rescussiter ce qui ne peut l'être. Chiant à la longue et même à la courte, mais avec un bon bassiste et une sincérité apparemment non feinte, qui rendait tout de même la chose écoutable.
PORTE MENTAUX - February 1988 - MJC Cergy - The 'punch and judy' night
Back to suburbia! It was my first attempt to went back to such suburbian events since Magma in 1981. You'll never know how much I despise these ceromonies. Very punky crowd, but rather strange, fourth generation of deep south red necks cross breeding like. The first act hard rock band, diplays proudly his leathers, chains, and brushings. The singer threw his scarf in the crowd to an hypotetical fan, like Robert Plant could have done it in a 80 000 people stadium (we are in a crap suburban hall with 50 people among whom where 40 menacing punks, you should have been there to believe it!). The crowd didn't stop one second insulting the band. Then, sublimating their corkyness the hard rockers stopped playing and the singer goes : 'Now stop this bullshit because this song I have wrote for my little daughter, with my guts!' Immediatly hilarity spread across the room followed by a wave of insults and promises : 'little bitch I'm gonna fuck your shit hole' or 'strip off the slut' or 'give us the pisseuse' and other 'fuck' and much more. Next to nervous breakdown the hard rockers stopped playing again and left the stage uttering a last cry of rage 'You should have shown respect at last!' cheering people again. I never have such a laugh at a concert.
Back to banlieue! Depuis Magma 81 quand même, c'est vous dire mon attrait pour ce genre de cérémonie. Public très punk, mais plutôt étrange, style quatrième génération de croisements inter sanguins de red necks dans le deep south américain. Le groupe hard de première partie, arbore cuirs, colliers, brushings et foulard; jeté comme Robert Plant pourrait le faire dans un stade de 80 000 personnes, à un fan hypothétique dans le public (nous sommes dans une mjc sordide avec 50 personnes dont 40 punks hostiles; faut le voir pour y croire!). Le groupe n'arrête pas d'être insulté un seul instant. C'est alors que sublimant leur ringardise, les hardos s'arrêtent de jouer et leur chanteur d'interpeller le public en ces termes "bon maintenant arrêtez vos conneries parce que cette chanson je l'ai écrite pour ma petite fille avec mes tripes". Immédiatement, c'est l'hilarité générale, suivie pendant le fameux morceau, d'un tombereau d'insultes, de gestes et de promesses significatifs du genre "p'tite pute, j'vais te défoncer la boîte à caca" ou "A poil la salope" ou encore "livrez nous la pisseuse" et autres fuck et j'en passe. A la limite de la nervous breakdown, les hardos arrêtent encore le morceau et quittent la scène en vitupérant "vous pourriez avoir du respect quand même!", provoquant à nouveau l'allégresse générale. J'ai jamais autant rigolé à un concert.
Back to banlieue! Depuis Magma 81 quand même, c'est vous dire mon attrait pour ce genre de cérémonie. Public très punk, mais plutôt étrange, style quatrième génération de croisements inter sanguins de red necks dans le deep south américain. Le groupe hard de première partie, arbore cuirs, colliers, brushings et foulard; jeté comme Robert Plant pourrait le faire dans un stade de 80 000 personnes, à un fan hypothétique dans le public (nous sommes dans une mjc sordide avec 50 personnes dont 40 punks hostiles; faut le voir pour y croire!). Le groupe n'arrête pas d'être insulté un seul instant. C'est alors que sublimant leur ringardise, les hardos s'arrêtent de jouer et leur chanteur d'interpeller le public en ces termes "bon maintenant arrêtez vos conneries parce que cette chanson je l'ai écrite pour ma petite fille avec mes tripes". Immédiatement, c'est l'hilarité générale, suivie pendant le fameux morceau, d'un tombereau d'insultes, de gestes et de promesses significatifs du genre "p'tite pute, j'vais te défoncer la boîte à caca" ou "A poil la salope" ou encore "livrez nous la pisseuse" et autres fuck et j'en passe. A la limite de la nervous breakdown, les hardos arrêtent encore le morceau et quittent la scène en vitupérant "vous pourriez avoir du respect quand même!", provoquant à nouveau l'allégresse générale. J'ai jamais autant rigolé à un concert.
AND ALSO THE TREES December 1987 - Locomotive - The 'rigor mortis' night
Tonight I'm night clubbing for the very first time and I like it! Eh...? Let's get back to the subject. And also the trees : tormented band. The cursed victorian poet singer was ranting about his misery ... sort of experimental cold wave ... boredom takes over like gangrene on a wound. Dead music as dead as the still life subjects on their record sleeves.
Tonight I'm night clubbing for the very first time and I like it! Hmm! Bref! And also the trees : groupe tourmenté. Le chanteur, style dandy, poète maudit de l'ère victorienne, déclame sa misèreu, pour une cold wave expérimentale...bof!...l'ennui gagne comme la gangrène. Musique morte comme les natures mortes sur les pochettes de leurs disques.
Tonight I'm night clubbing for the very first time and I like it! Hmm! Bref! And also the trees : groupe tourmenté. Le chanteur, style dandy, poète maudit de l'ère victorienne, déclame sa misèreu, pour une cold wave expérimentale...bof!...l'ennui gagne comme la gangrène. Musique morte comme les natures mortes sur les pochettes de leurs disques.
mardi 26 juin 2007
NEW ORDER December 1987 - Mutualité - The "unperfect kiss" night
Edwyn Collins, ex Orange Juice, ex juvenile leader of the cadburry sound, should play at Le Rex hall on june 6, but their van broke on the way from Calais to Paris and the show had to be cancelled (sob!). Friendly New order accepted them for their first part act the following day, so I found them back at the Mutu two days later. I have to admit that it didn't sound very good (sob! again). The fanatic New order crowd expressed it very distinctly, right in their faces, screaming 'New order! New order!' again and again. Disappointed, boiling in the furnace of an overcrowded hall, exhausted (eh? I have walk 5 kilometres from St Lazare railway station ... the first laughing!), overmatched by bigger fans, I decide to strategically withdraw on a fallback position at the rear end of the room while the gig turned to Russia's retreat for New Order. Apparently few inspired, they only manage to play their game well on 'perfect kiss'. The gig is untidy and won't even be saved by a version of the Velvet underground's 'sister ray'. Assholes keep on asking for Joy division's songs without stopping. I love you Barney but not for the same reasons, this I'm quite sure.
Edwyn Collins, ex Orange Juice, ex leader juvénile du cadburry sound devait passer au rex le six juin, mais tombé en panne entre Calais et Paris il arrive avec une heure de retard et le concert doit être annulé (sob!). New order, bons princes, ayant accepté de les récupérer en première partie, c'est donc deux jours plus tard qu'on les retrouve à la mutu. Et là j'avoue que ça cassait pas des briques (re sob!). d'ailleurs le public, à peine fanatisé, de New order, ne s'est pas fait prier pour le leur faire savoir, réclamant inlassablement "new order! new order!" toutes les trois s'condes. Déçu, cuit, bousculé dans la fournaise d'une salle pleine à craquer, épuisé (heu?...j'étais venu à pied de St Lazare...le premier qui rit...!); dépassé par des plus fans que moi, je décide un repli stratégique vers le fond de la salle, tandis que le concert tourne à la retraite de Russie pour New order. Apparemment peu inspirés, ils tirent seulement leur épingle du jeu sur "perfect kiss" forcément sublime. Le set est brouillon et ne sera même pas sauvé par la rerpise surprise du "sister ray" du Velvet. Des p'tits cons réclament sans arrêt des titres de Joy division. I love you Barney mais sûrement pas pour les mêmes raisons que certainssssssssses
Edwyn Collins, ex Orange Juice, ex leader juvénile du cadburry sound devait passer au rex le six juin, mais tombé en panne entre Calais et Paris il arrive avec une heure de retard et le concert doit être annulé (sob!). New order, bons princes, ayant accepté de les récupérer en première partie, c'est donc deux jours plus tard qu'on les retrouve à la mutu. Et là j'avoue que ça cassait pas des briques (re sob!). d'ailleurs le public, à peine fanatisé, de New order, ne s'est pas fait prier pour le leur faire savoir, réclamant inlassablement "new order! new order!" toutes les trois s'condes. Déçu, cuit, bousculé dans la fournaise d'une salle pleine à craquer, épuisé (heu?...j'étais venu à pied de St Lazare...le premier qui rit...!); dépassé par des plus fans que moi, je décide un repli stratégique vers le fond de la salle, tandis que le concert tourne à la retraite de Russie pour New order. Apparemment peu inspirés, ils tirent seulement leur épingle du jeu sur "perfect kiss" forcément sublime. Le set est brouillon et ne sera même pas sauvé par la rerpise surprise du "sister ray" du Velvet. Des p'tits cons réclament sans arrêt des titres de Joy division. I love you Barney mais sûrement pas pour les mêmes raisons que certainssssssssses
jeudi 7 juin 2007
Close your eyes and disappear
808 State : magical dream
http://www.zshare.net/audio/2176846536f63f/
Sub sub : space face
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Sub sub : space face
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