mercredi 27 juin 2007

MOMUS/BELOVED/SHAMEN February 1988 - Rex club - The 'trois en un rock' night

Momus. Strange name hiding a british nostalgic of 'la chanson Française'. He seemed to be cult in the french parisian intellectual 'inrock' pop crowd even if he failed to be in his own country. I didn't blame him. He has some guts. I left him to his torments and went to the bar and he seemed to do well without me. Frustration ... the Beloved have splitted and I didn't knew it. There's only two of them left and it didn't seem to be a cold wave band anymore. (You understand that at this state the night was in pass tu turn to total distaster for me). The band is all synth now, New order style, but live I really doubt about their know how. Yet it wasn't so bad, even very good with little jewels like 'forever dancing' with a Madona sample or 'then 87'. Then came the Shamen. Psych revival band with all common images of the style, trying to rise from the dead what can't be. It's quite boring but they seem to be sincere and the bass player quite good, the whole sing is still listenable.

Momus. Etrange patronyme derrière lequel se cache un british nostalgique de la chanson française. Culte tout de même, à défaut de l'être chez lui en GB, dans le milieu pop intello parisien, style inrock. Je ne lui en veut pas. Il a du courage. Je le laisse à ses tourments pour aller au bar et il s'en sort très bien sans moi. Frustration. Les Beloved, splittés sans que je le sache, ne sont plus que deux et ont largué leur côté cold wave. (A ce stade la soirée tournait au désastre). Ne reste que le côté synthétique new ordisant du groupe, sur lequel j'exprimais, du moins en concert, les plus grands doutes. Dire que c'était inoubliable serait éxagéré, mais dire que c'était plutôt bien ficelé, ne serait pas faux, avec des petites perles telles "forever dancing" avec son sample de Madona ou "then 87". Suivirent les Shamen; groupe psychédélique revival avec tous les clichés du genre, s'ingéniant à rescussiter ce qui ne peut l'être. Chiant à la longue et même à la courte, mais avec un bon bassiste et une sincérité apparemment non feinte, qui rendait tout de même la chose écoutable.

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