Kurt Ralshke was a shy and skinny guy and Inspiral carpet’s first part seemed to be out of proportion for him. His voice failed to reach the crowd and each minute passing by seemed to bring him near an oxygen pavillion. It was a bitter deception and a missed rendez vous. On the contrary, the carpets, wich it was hip to dismiss before the gig begin, in order to avoid a bad surprise perhaps, didn’t miss theirs. The band seemed to have progressed and withdraw an indiscutable strength, chaining hymns after hymns from ‘joe’ to ‘directing traffic’ and a memorable housey (think 808 STATE’s pacific state) rendition of their classic ‘commercial rain’. Mooh!
Kurt Ralshke, est un petit bonhomme tout maigrichon et timide, pour qui cette première partie semble hors de proportion. Sa voix a du mal à sortir et chaque minute qui passe semble le rapprocher de la tente à oxygène. Déception amère et donc rendez vous manqué. Par contre les carpets, sur lesquels il est de bon ton de gloser avant le concert, sans doute afin de se mettre à l'abri d'une mauvaise prestation, n'ont pas loupé le leur. Le groupe a progressé et dégage une indiscutable puissance, enchaînant hymnes sur hymnes de "joe" à "directing traffic" en passant par "commercial rain" trafiqué d'une intro jungle birds à la 808 STATE, quasi house. Mémorable. Mooh!
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