lundi 23 juillet 2007
Paradisio ... in yer face
http://video.google.de/videoplay?docid=6250101077938474842 many thanks for this link to the great http://globalvariables.net/audio.out/ ... Ibiza 1990 ... I was there ...
mercredi 11 juillet 2007
Close your eyes and disappear
Bug kann and the plastic jam : made in 2 minutes rave mix
http://www.zshare.net/audio/2646707a3d37da/
The scientist : the exorcist
http://www.zshare.net/audio/264674976229dd/
http://www.zshare.net/audio/2646707a3d37da/
The scientist : the exorcist
http://www.zshare.net/audio/264674976229dd/
NORMA LOY/RED LORRY YELLOW LORRY/FIELDS OF THE NEPHILIM September 1988 - Elysées Montmartre - The 'Goth to geth out of here' night
Behind their two drumkits and morbid synths, Norma loy developped an innate sense of tortured weirdness with this Hiroshima escaped Japanese girl who begun a kind of badmington party with the Taras Boulba lookalike singer (the one played by Yul Brynner). Boring indeed. The more than thirty-year Red lorry followed. Their mission : take no prisoner. Rock'n'roll I'm afraid? It was horrible and dogmatic. The crowd was extatic, in trance ... ? Puppet show for the fields, with the singer coming out out of a coffin they weren't afraid of overbiding any other gothic bands just to please their public. I have to admit that the singer's voice was imposant (effect or not?) and they were quite good musicians. They wore hats, long far west coats and long hairs; the ultra 'in' crowd was there to show himself and his stupidity. A drug crazed hippy (lost?) bumped into somebody while dancing and was badly kicked, only saved by a bouncer. Didn't understand nothing to life these goths.
Derrière ses deux batteries et ses synthés morbides, Norma loy développe un sens inné du zarbi et du torturé assez étonnant, jusqu'à cette danseuse japonaise rescapée d'iroshima qui entame une partie de badmington avec le chanteur taras boulba (celui joué par Yul Brynner). Lassant tout de même. Suivent les plus que trentenaires Red lorry, pour qui tout se limite à rentrer dans le tas sans faire de prisonnier. Du rock en sommes? C'est ignoble et dogmatique au possible. Le public en transe est hystérique. Grand guignol pour les fields dont le chanteur sort d'un cercueil et qui n'ont pas peur de faire de la surenchère pour plaire à leur public. je reconnais que la voix du chanteur est impressionnante dans les graves (effets ou pas effets?) et qu'ils savent jouer. Ils arborent chapeaux, cheveux longs et pardessus far west; le public ultra branché et poseur arbore sa connerie. Un baba dijoncté (égaré?) qui a eu le malheur de bousculer un type en dansant se fait dérouiller sans comprendre et n'est sauvé que par l'intervention d'un videur. Rien compris à rien les goths français.
Derrière ses deux batteries et ses synthés morbides, Norma loy développe un sens inné du zarbi et du torturé assez étonnant, jusqu'à cette danseuse japonaise rescapée d'iroshima qui entame une partie de badmington avec le chanteur taras boulba (celui joué par Yul Brynner). Lassant tout de même. Suivent les plus que trentenaires Red lorry, pour qui tout se limite à rentrer dans le tas sans faire de prisonnier. Du rock en sommes? C'est ignoble et dogmatique au possible. Le public en transe est hystérique. Grand guignol pour les fields dont le chanteur sort d'un cercueil et qui n'ont pas peur de faire de la surenchère pour plaire à leur public. je reconnais que la voix du chanteur est impressionnante dans les graves (effets ou pas effets?) et qu'ils savent jouer. Ils arborent chapeaux, cheveux longs et pardessus far west; le public ultra branché et poseur arbore sa connerie. Un baba dijoncté (égaré?) qui a eu le malheur de bousculer un type en dansant se fait dérouiller sans comprendre et n'est sauvé que par l'intervention d'un videur. Rien compris à rien les goths français.
SIOUXIE & THE BANSHEES September 1988 - Zenith - The 'pik a beurk' night
I was waiting with anxiety for the mighty lemon drops to play as first part band, instead of what I got an unknown folk singer who bored us for ages ... it was crap!!! ... I was cheated 75%, I should got a seat to rest. I wasn't even concerned by the banshees' show, I died a thousand deaths lost among the crowd, just teased by some old songs and the hit 'pik a booh', supported by an excellent rythmic section. I am 95% cheated, please call an ambulance! I have a right to! I have a 95% reduction card!
J'attendais fébrilement les mighty lemon drops, prévus en première partie, au lieu desquels un inconnu notoire s'est ramené sur scène et nous a bassiné pendant une éternité avec des folk songs...c'était chiant!!!...je suis volé à 75%, j'ai droit à une place assise. Le concert me passe au dessus de la tête, j'agonise d'ennui au milieu de la foule, à peine distrait par quelques anciens titres et "pik a booh" portés par une excellente section rythmique. Je suis volé à 95%, appelez une ambulance! J'ai droit, j'ai ma carte à 95%!
J'attendais fébrilement les mighty lemon drops, prévus en première partie, au lieu desquels un inconnu notoire s'est ramené sur scène et nous a bassiné pendant une éternité avec des folk songs...c'était chiant!!!...je suis volé à 75%, j'ai droit à une place assise. Le concert me passe au dessus de la tête, j'agonise d'ennui au milieu de la foule, à peine distrait par quelques anciens titres et "pik a booh" portés par une excellente section rythmique. Je suis volé à 95%, appelez une ambulance! J'ai droit, j'ai ma carte à 95%!
mardi 10 juillet 2007
THE POLLEN/ADRIAN BORLAND/Mc CARTHY September 1988 - The 'Je passe une audition' night
Speaking of french bands, the Pollen were ahead of their time with some 60's and 80's sounds mixed together by an english singer (girl). Neither bad nor good. Many friend's of the band seemed to enjoy it. Rest of the crowd waits for it to end, very well behaved like. Left by his band The sound, Adrian Borland came alone on the stage, soaked by ale ... and you could tell he was all for it. Then the pollen's drummer and bass player joined him and sudenly something happened. Guy's get very punchy and all and the crowd appreciate. To say the truth more a happening than a real gig. Well, I was there for Mc carthy and what a disappointment it was! Too young, the band members coudn't restitute the cutting feeling of the songs which were dying in a sad uniformity. The singer looks friendly but the voice is weak. The guitar player is good but the bass player's fingers were too small ... sometimes it's nearly entertaining but then it dies again.
The pollen sont sans doute un peu en avance sur leur temps pour un groupe français avec une musique 60's passée à la moulinette 80's (que d'audace!) par une chanteuse anglaise. Ni désagréable ni agréable. Les amis du groupe, en nombre dans la salle, semble y prendre plaisir. Le reste du public attend bourgeoisement que ça se passe. Largué par son groupe The sound, Adrian Borland arrive seul sur scène, bouffi par la bière...et il en veut! Le batteur et le bassiste de the pollen le rejoignent et tout à coup l'émotion passe. Le type retrouve la pêche et le public ne s'y trompe pas. Plus happening que concert tout de même. Bon j'étais quand même venu pour Mac carthy et quelle déception! Trop juvénile, le groupe n'arrive pas à restituer l'aspect incisif des chansons, qui s'éteignent dans une morne uniformité. Le chanteur a l'air sympa mais la voix est faible. Le guitariste en herbe est bon, mais le bassiste a de trop petits doigts...parfois il y aura une étincelle mais pas d'incendie.
The pollen sont sans doute un peu en avance sur leur temps pour un groupe français avec une musique 60's passée à la moulinette 80's (que d'audace!) par une chanteuse anglaise. Ni désagréable ni agréable. Les amis du groupe, en nombre dans la salle, semble y prendre plaisir. Le reste du public attend bourgeoisement que ça se passe. Largué par son groupe The sound, Adrian Borland arrive seul sur scène, bouffi par la bière...et il en veut! Le batteur et le bassiste de the pollen le rejoignent et tout à coup l'émotion passe. Le type retrouve la pêche et le public ne s'y trompe pas. Plus happening que concert tout de même. Bon j'étais quand même venu pour Mac carthy et quelle déception! Trop juvénile, le groupe n'arrive pas à restituer l'aspect incisif des chansons, qui s'éteignent dans une morne uniformité. Le chanteur a l'air sympa mais la voix est faible. Le guitariste en herbe est bon, mais le bassiste a de trop petits doigts...parfois il y aura une étincelle mais pas d'incendie.
lundi 2 juillet 2007
To the shores of lake placid
Don Carlos : alone (paradise mix)
http://www.zshare.net/audio/25279575508312/
Fox'n'Wolf : claws against knives (Todd Terje remix)
http://www.zshare.net/audio/2528012de88459/
Lady Sovereign : pretty vacant (Sex pistols cover)
http://www.zshare.net/audio/2528111951c9c3/
http://www.zshare.net/audio/25279575508312/
Fox'n'Wolf : claws against knives (Todd Terje remix)
http://www.zshare.net/audio/2528012de88459/
Lady Sovereign : pretty vacant (Sex pistols cover)
http://www.zshare.net/audio/2528111951c9c3/
MIDNIGHT OIL May 1988 - Zenith - The 'Géant vert' night
First part act, french punk group OTH, would have all my sympathy if they played their only hit 'les rapetous' and went back as soon as it's over, but instead we have to listen to all these crap and boring hardcore punk tracks each one more shapeless and insipid than the others, surely chiseled by a real lack of imagination without any equivalent in France. Red hot chili peppers. I've heard of white hip hop but didn't knew it really existed. Well it is. It talks about dicks, more dicks and even ... about dicks. For Midnight oil, the five first songs blew me like a wisp of straw at a 1000 metres height! Then I fell (800 metres) tirelessly. A few hits made me glide (500 metres) but inexorably I fell in boredom (300 metres) to came down in a spin during the callbacks (200 metres) and crash in hatred at the third callback ... wich fortunately (thank you God) didn't happened.
OTH auraient ma sympathie s'ils entraient sur scène, jouaient "les rapetous" et repartaient de suite. Mais au lieu de ça il faut se taper leurs morceaux bourrins de punk hard tous aussi informes et insipides les uns que les autres, ciselés par une absence d'imagination mûrement pensée et assurément sans égale en France. Red hot chili peppers. Le hip hop blanc, j'en avais entendu parler, mais je ne savais pas que ça existait vraiment. Well ça existe. Ca parle de dick, de dick et même...de dick. Pour midnight oil, les cinq premières chansons m'emportent comme un fétu de paille, soufflé ah que je suis, à mille mètres d'altitude! Puis je retombe (800m) inlassablement. Quelques tubes bien envoyés me font planer (500m), mais c'est irrémédiable, je chute dans l'ennui (300m), pour partir en vrille aux rappels (200m) et m'écraser dans la haine au troisième rappel...qui, heureusement (merci mon Dieu)...n'aura pas lieu.
OTH auraient ma sympathie s'ils entraient sur scène, jouaient "les rapetous" et repartaient de suite. Mais au lieu de ça il faut se taper leurs morceaux bourrins de punk hard tous aussi informes et insipides les uns que les autres, ciselés par une absence d'imagination mûrement pensée et assurément sans égale en France. Red hot chili peppers. Le hip hop blanc, j'en avais entendu parler, mais je ne savais pas que ça existait vraiment. Well ça existe. Ca parle de dick, de dick et même...de dick. Pour midnight oil, les cinq premières chansons m'emportent comme un fétu de paille, soufflé ah que je suis, à mille mètres d'altitude! Puis je retombe (800m) inlassablement. Quelques tubes bien envoyés me font planer (500m), mais c'est irrémédiable, je chute dans l'ennui (300m), pour partir en vrille aux rappels (200m) et m'écraser dans la haine au troisième rappel...qui, heureusement (merci mon Dieu)...n'aura pas lieu.
PRIMITIVES May 1988 - New morning - The 'Fuck the french indie clique' night
Discovering the renowned cult parisian jazz hall, the new morning club! I quite enjoyed the intimist feeling of the place but the bar remained firmly hostile with beers at 30 francs. I understood all the particularity of rentability, but taken by surprise, like that, it always hurt. Finally the goods vibrations took over when the band came up on stage. Tracey Tracey leads the tracks delicately where they have to go, piercing our hearts with languid glances. The band is all pop and speed. Unfortunately the parisian crowd remained cold as ice. That 's the rocking intellectual's attitude ... even during such delicacy as the cover of 'as tears go by'. I came to jump and move ... and I have to control my emotions! Fuck them!
A la découverte de la salle jazzy parisienne par excellence, j'ai nommé le new morning! L'aspect intimiste de l'endroit n'est pas pour me rebuter, mais le bar reste résolument hostile, à 30 francs la bière. Je comprend les aléas de la rentabilité, mais comme ça, pris par surprise, ça fait toujours mal. Enfin, les good vibrations ont quand même repris le dessus à l'arrivée du groupe sur scène. Tracey Tracey amène délicatement les morceaux là ou ils doivent aller, nous chavirant de regards papillotants. Le groupe assure bien pop et speed. Hélas! le public pop parisien reste froid. The rocking intellos pause...même sur la perle sucrée que constitue la reprise du "as tears go by" des Stones. J'étais venu pour me bouger et me dépenser...résultat, j'ai dû me contenir! Grrrr!!!!
A la découverte de la salle jazzy parisienne par excellence, j'ai nommé le new morning! L'aspect intimiste de l'endroit n'est pas pour me rebuter, mais le bar reste résolument hostile, à 30 francs la bière. Je comprend les aléas de la rentabilité, mais comme ça, pris par surprise, ça fait toujours mal. Enfin, les good vibrations ont quand même repris le dessus à l'arrivée du groupe sur scène. Tracey Tracey amène délicatement les morceaux là ou ils doivent aller, nous chavirant de regards papillotants. Le groupe assure bien pop et speed. Hélas! le public pop parisien reste froid. The rocking intellos pause...même sur la perle sucrée que constitue la reprise du "as tears go by" des Stones. J'étais venu pour me bouger et me dépenser...résultat, j'ai dû me contenir! Grrrr!!!!
MIGHTY LEMON DROPS March 1988 - Rex club - The 'do it again' night
Magik! Paul Marsh sang the first song his back against the crowd. Everything's feeling and the drops knew their lessons. The Rex club is crowded; there's no other words to describe it, just crowded with people. Less punky, less speedy, more melodic, with something new : a synth! The band rocks. It's been since Echo (well well) that I haven't jump like crazy at a gig. Once again it's too fast too short. Just one regret. 87's urgency has left them.
Maagique! Paul Marsh dos au public pour le premier morceau. Tout est affaire d'ambiance et les drops ont été élevés à la bonne école. Le rex est plein à craquer; la foule, pas plus pas moins, juste la foule. Moins ponk, moins speed, plus mélodique, avec une petite nouveauté : un clavier! Le groupe assure bien. Ca faisait bien depuis Echo (tiens tiens) que je n'avais pas bougé comme un fou à un concert. Encore une fois, trop vite et trop court. Un regret. La hargne de 87 a disparu.
Maagique! Paul Marsh dos au public pour le premier morceau. Tout est affaire d'ambiance et les drops ont été élevés à la bonne école. Le rex est plein à craquer; la foule, pas plus pas moins, juste la foule. Moins ponk, moins speed, plus mélodique, avec une petite nouveauté : un clavier! Le groupe assure bien. Ca faisait bien depuis Echo (tiens tiens) que je n'avais pas bougé comme un fou à un concert. Encore une fois, trop vite et trop court. Un regret. La hargne de 87 a disparu.
Inscription à :
Articles (Atom)