First part act, french punk group OTH, would have all my sympathy if they played their only hit 'les rapetous' and went back as soon as it's over, but instead we have to listen to all these crap and boring hardcore punk tracks each one more shapeless and insipid than the others, surely chiseled by a real lack of imagination without any equivalent in France. Red hot chili peppers. I've heard of white hip hop but didn't knew it really existed. Well it is. It talks about dicks, more dicks and even ... about dicks. For Midnight oil, the five first songs blew me like a wisp of straw at a 1000 metres height! Then I fell (800 metres) tirelessly. A few hits made me glide (500 metres) but inexorably I fell in boredom (300 metres) to came down in a spin during the callbacks (200 metres) and crash in hatred at the third callback ... wich fortunately (thank you God) didn't happened.
OTH auraient ma sympathie s'ils entraient sur scène, jouaient "les rapetous" et repartaient de suite. Mais au lieu de ça il faut se taper leurs morceaux bourrins de punk hard tous aussi informes et insipides les uns que les autres, ciselés par une absence d'imagination mûrement pensée et assurément sans égale en France. Red hot chili peppers. Le hip hop blanc, j'en avais entendu parler, mais je ne savais pas que ça existait vraiment. Well ça existe. Ca parle de dick, de dick et même...de dick. Pour midnight oil, les cinq premières chansons m'emportent comme un fétu de paille, soufflé ah que je suis, à mille mètres d'altitude! Puis je retombe (800m) inlassablement. Quelques tubes bien envoyés me font planer (500m), mais c'est irrémédiable, je chute dans l'ennui (300m), pour partir en vrille aux rappels (200m) et m'écraser dans la haine au troisième rappel...qui, heureusement (merci mon Dieu)...n'aura pas lieu.
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