Kraftwerk, the return! ... after crossing the decade on the trans Europ express, they came back and a big crowd gathered in front of the Parisian temple of music hall in a long queue, to see them (many Polish tourists also joined the queue, because as they say in Poland : 'if there's queueing there's something worth to get at the end'). The crowd was very eclectic : techno addicts, rockers 'we don't like it but we only came to see!', your honest John, executive people, industrial music fans, house freaks, old followers and more. And what for in the end?
Kraftwerk played to be Kraftwerk and nothing more. The stage was very sobre with four kitch Star Trek style sci fi keyboards on the front and four big screens at the back with your usual diaporama. The lights were minimalistic and moreover they played their double remixed lp, note for note. Yes mam, nothing more happened on the stage. They're was only a little something more on 'Radioactivity' and 'Trans Europ' with their metallic rhythms. 'The robots' was ok even if played without the band on the stage, but still without any surprise (I yawned, with boredom I guess). Then four articulated robots appeared, Kraftwerk seemed to be mocking themselves pushing their concept to the edge .. and then they came back again with little bontempi keyboards and for the first time they let themselves go. The success was huge in the crowd but there's something emotional missing for me. I was expecting to see Kraftwerk selling out to the bpm gods and all I got was audio and visual german minimalism! They had been real precursors and all and people wanted to pay a tribute to them and perhaps to see something big even if it wasn't really the case. You know what? They looked sympathetic but also ... quite old. Woss you say Lech? Summat wrong with you? uh? I was listening to 808 State the other day and they were so ... modern?
Kaftwerk le retour ! … Après avoir traversé la décennie sur la trans Europe express, ils sont revenus et beaucoup se pressaient contre les portes du temple du music hall, au terme d’une longue queue dans les brumes parisiennes (plusieurs touristes Polonais faisaient aussi la queue, parce que comme on dit là bas, si y a une queue c’est qu’y a quelque chose au bout). Un public multicolore s’était déplacé, techno adicts, rockers « on est là pour voir, hein attention ! », monsieur tout le monde, cadres sup, fans d’indus, house freaks, anciens fans et j’en passe. Et tout ça pourquoi ?
Kraftwerk nous on fait du Kraftwerk et rien de plus. La scène très sobre présente quatre claviers en forme de pupitres très sci fi kitsch Star trek stylee, avec quatres écrans au fonds ou défilent des diapos synchrones avec la sik. Question éclairage juste le nécessaire, mais surtout question sik, le double album remixe est joué note pour note. Ben oui pas’ce que sur scène y se passe rien. Les quelques moments intenses seront « radioactivity » et « trans Europe » avec ses percussions métalliques. « The robots » en l’absence du groupe sur scène est agréable, mais vraiment sans surprise (oui j’ai baillé !à), puis apparaissent quatre robots articulés ou Kraftwerk se moque de Kraftwerk, poussant le concept à fonds et le retour des quatres cybernautes avec des petits bontempi sur le devant de la scène … ou les Kraftwerk se laissent aller !
Le succès est énorme dans le public. Mais l’émotion n’y était pas pour moi, j’avais espéré voir Kraftwerk vendu au Dieu Bpm et je n’ai eu que la sobriété germanique, tant visuelle que musicale. Ils ont sans doute été des précurseurs et le public se sentait obligé de voir dans cette prestation sans surprise un événement. Pourtant ils apparaissent sympa, mais aussi un peu vieux …t ‘es d’accord Lech ? Hein ? L’autre jour j’écoutais 808 State et c’était si ... moderne?
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