After Iggy Pop, Lou Reed and Bowie I had to face this other rock’n’roll myth to make myself an opinion. But, once more, except Lou Reed, the so called myths seemed to be too much off their heads on mothballs. As a result the Cramp’s psychobilly wasn’t very fresh in this year of grace 1990. The singer could climb on the amplifiers, open his zip to show us his dick and balls for the 92th time , the bass player could stand with a made in China nylon leopard little underwear, the Cramps looks more like a faiground stall attraction (come and see our rock monsters!) than anything else. Parody of themselves, cockmics stereotypes? I can't wait for the summer to open our windows to get rid off our moths. As for Jesus Jones their set crashed in a messy noise, revealing how the way is still long for them.
Après IGGY POP, LOU REED et BOWIE, me voici donc en face d'un nouveau mythe rock'n'rollien pour juger de quoi il en retourne. Mais encore une fois, excepté LOU REED, ledits mythes semblent s'être trop défoncés à la naphtaline. Résultat, le psychobilly des CRAMPS, c'est pas vraiment du tout frais en cet an de grâce 1990. Le chanteur a beau escalader les amplis, dégraffer son froc en simili cuir et nous montrer 92 fois son service trois pièces et la bassiste s'afficher en petite culotte léopard synthétique made in China, les CRAMPS commencent à tenir plus de la baraque foraine (venez voir nos monstres du rock!) qu'autre chose. Parodie d'eux mêmes, stéréotypes de cockmics américains? Vivement l'été qu'on aère pour se débarrasser de nos mites. Quant à JESUS JONES, leur prestation fusion s'écrase dans un brouhaha informe, montrant combien la route est longue encore pour eux.
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