In want of lps (three years), gigs (four years) and news (seven months) of Echo & the bunnymen, I gave in to the drops who weren't hiding their influences. What a slap! What energy! What urgency in every track. I felt so excited that I spent the whole gig like petrified, forgeting to move. Everything was so speed, even punky. They play their fisrt track their backs turned toward the crowd, Paul Marsh closed his eyes and it was over; everything happened so quick! I'm about to breakdown ... still one year of wait to see them again ....
En manque d'album (3 ans), de concerts (4 ans) et de nouvelles (7 mois) d'echo & the bunnymen, je craque sur les drops, qui ne cachent pas leurs influences, loin de là. Quelle claque! Quelle énergie! Quelle urgence dans chaque morceau. J'en suis tellement émoustillé que j'ai passé tout le concert comme pétrifié, en oubliant même de bouger. Le tout est très speed, punky même. Le premier titre est joué dos au public, Paul Marsh ferme les yeux, tout est passé si vite. Je suis au bord de la crise de nerf...un an à attendre avant de les revoir.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire